Affaire de sécurité National : accusations Explosives révélations par Msadek Delila

L'avocate Msadek Delila , membre du comité de défense des détenus dans ce qu'on appelle "l'affaire de conspiration contre la sécurité de l'État", a confirmé ,aujourd'hui, que les accusations de "formation d'une organisation terroriste, de financement d'une organisation terroriste, de changement de régime, de non-signalement de crimes terroristes, de conspiration contre la sécurité de l'État et de commission d'un acte monstrueux contre le chef de l'État" ont été portées dans la décision de clôture de l'enquête rendue hier.

L’avocate Msadek Delila , membre du comité de défense des détenus dans ce qu’on appelle “l’affaire de conspiration contre la sécurité de l’État”, a confirmé ,aujourd’hui, que les accusations de “formation d’une organisation terroriste, de financement d’une organisation terroriste, de changement de régime, de non-signalement de crimes terroristes, de conspiration contre la sécurité de l’État et de commission d’un acte monstrueux contre le chef de l’État” ont été portées dans la décision de clôture de l’enquête rendue hier.

Msadek a ajouté que les accusés Chaouachi Ghazi et Ben M’barek Jawhar se voient également reprocher “d’adhésion à une organisation terroriste, de non-signalement de crime terroriste, de conspiration contre la sécurité de l’État intérieur et extérieur, et de commission d’un acte monstrueux contre le président de la République”.

Quant à Chebbi Issam ,Jlassi Abdelhamid et Belhaj Ridha, ils ont été accusés “d’adhésion à une organisation terroriste, de non-signalement de crimes terroristes, de conspiration contre la sécurité de l’État intérieur et extérieur”, comme l’a confirmé Msadek dans la décision de clôture de l’enquête.

Elle a également indiqué que 17 chefs d’accusation ont été portés contre tous les déférés dans l’affaire de conspiration, qui sont actuellement en fuite.

Dans le même contexte, Msadek a précisé que tous les détenus dans le cadre de l’affaire de conspiration contre la sécurité de l’État ont été informés dimanche qu’ils comparaîtraient lundi devant le juge d’instruction, mais ils ont refusé de s’y rendre.

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