Une décision récente a envoyé des ondes de choc dans le monde de l’huile d’olive en Tunisie. La nouvelle saison de presse d’olives a été suspendue par la majorité des présidents des chambres régionales de propriétaires d’huileries, une décision qui pourrait avoir un impact significatif sur l’industrie et les agriculteurs locaux.
La principale raison de cette suspension est la protestation des propriétaires d’huileries contre les problèmes persistants avec l’administration fiscale. Au cœur du différend se trouve un droit de 1% sur le montant des achats en olives, qui est versé à la caisse des catastrophes naturelles. Cette taxe pose des problèmes pratiques, car les propriétaires d’huileries se trouvent dans l’incapacité de l’appliquer sur les agriculteurs, créant ainsi une impasse.
Face à cette situation, les propriétaires d’huileries ont adressé des courriers aux autorités compétentes, demandant l’annulation de ce droit et cherchant des solutions pratiques pour sa mise en œuvre. Il est essentiel de résoudre ces questions fiscales pour garantir le bon déroulement de la saison de presse d’olives et pour préserver l’industrie de l’huile d’olive en Tunisie.
Le ministère des Finances devra jouer un rôle clé pour trouver des solutions appropriées et répondre aux préoccupations des propriétaires d’huileries. La suspension de la saison de récolte souligne l’importance de résoudre ces problèmes rapidement, car elle pourrait avoir un impact sur l’ensemble de l’industrie de l’huile d’olive en Tunisie.
Nous aimerions entendre l’opinion de nos lecteurs sur cette situation.
Pensez-vous que cette suspension de la saison de presse d’olives aura un impact significatif sur l’avenir de l’industrie en Tunisie ? Partagez vos réflexions dans les commentaires ci-dessous.