L’Algérie traverse une crise économique profonde, et sa monnaie en subit les conséquences.
Ce mardi 24 septembre, le dinar algérien a atteint un seuil historique de dévaluation sur le marché noir des devises, atteignant 250 dinars pour un euro.
Des analystes économiques indépendants en Algérie attribuent cette chute à plusieurs facteurs.
La baisse continue des prix du pétrole, pilier de l’économie algérienne, est un élément central de cette crise.
L’incapacité des autorités à diversifier l’économie au-delà de la rente pétrolière aggrave la situation.
L’inflation galopante, qui érode le pouvoir d’achat des Algériens, joue également un rôle important dans la dévaluation du dinar.
Par ailleurs, l’absence de politiques efficaces pour réguler le marché des devises et l’instabilité politique actuelle du pays détériorent encore plus la confiance des investisseurs étrangers.
L’Algérie se retrouve dans une situation économique délicate, avec une monnaie en chute libre qui reflète les défis structurels auxquels le pays est confronté.
