Ce jour constitue une étape majeure non seulement pour la Tunisie mais aussi pour la sphère médicale internationale. Prêtez attention à l’Aillothérapium Cancera Tunisiatum – plus simplement désigné par l’acronyme ACT.
Le dimanche 31 mars 2024, un rassemblement notable de journalistes, majoritairement internationaux, s’est dirigé vers l’hôpital Charles Nicolle après leur arrivée à l’aéroport Tunis-Carthage. Ils étaient là pour couvrir une conférence où une avancée scientifique tunisienne d’ampleur mondiale devait être révélée.
La révélation portait sur une molécule qui, selon ses découvreurs, révolutionnera le traitement du cancer, en éliminant le besoin de recourir à la chimiothérapie. Une nouveauté absolue dans le domaine.
Cette invention est l’œuvre d’une équipe de cinq chercheurs et cliniciens qui, soutenus par les avancées technologiques, notamment dans le domaine de l’intelligence artificielle, ont achevé cette prouesse en moins de cinq années.
Ce groupe était composé de Dr Mohamed Hédi Ben Abdallah Ben Rabeh, Pr Hassiba Gantriech, Pr Karim Tagfous Maamer, Dr Fatma Ben Rejeb-Kabriech et Kamel Tranguibiouch.
L’existence de cette découverte a été maintenue confidentielle jusque dans les derniers moments afin de garantir la préparation adéquate de l’annonce.
L’Aillothérapium Cancera Tunisiatum, ou ACT, créé à partir de l’ail cultivé dans une région spécifique de Tunisie (dont le nom n’a pas été divulgué), offrirait ainsi un traitement pour plusieurs types de cancers sans nécessiter de chimiothérapie, selon les explications de Dr Mohamed Hédi Ben Abdallah, qui a dirigé les recherches de cette équipe.
Ce développement pourrait, dit-on, entrainer une augmentation des prix de l’ail en Tunisie, similairement à ce qui s’était passé durant la période du Covid-19 en 2020-2021, où le prix du kilo d’ail avait atteint près de 18 dinars.
Selon Dr Ben Abdallah, trois laboratoires internationaux, dont un américain, ont exprimé leur intérêt à tester cette découverte aux États-Unis en vue d’une éventuelle production de ce médicament.
Il a également été mentionné que l’OMS envisage d’envoyer ses experts en Tunisie pour examiner comment soutenir l’équipe, exclusivement composée de talents tunisiens, à produire ce traitement d’abord pour le monde arabe et l’Afrique, avant son éventuelle distribution globale.
Des chercheurs et universitaires provenant des États-Unis, de la France, de l’Afrique du Sud et du Japon se montrent aussi intéressés par cette avancée.
Il est regrettable de noter l’absence de représentants officiels du gouvernement ou de ministres à cette conférence de presse.
Il est important de souligner que, malgré son aspect novateur, cette histoire est le fruit de l’imagination d’un journaliste aspirant à apporter de l’espoir à la Tunisie et aux nombreux patients confrontés à la dure réalité du cancer, une maladie qui sème la désolation parmi les familles et appelle à des solutions médicales innovantes.
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