G7 et CPI : Netanyahu sous pression, quelles conséquences pour Israël ?

Les Réactions du G7 après les Mandats d’Arrêt de la CPI

Après l’émission de mandats d’arrêt par la Cour pénale internationale (CPI) visant notamment Benjamin Netanyahu, le Premier ministre israélien, les pays du G7 ont réagi le 26 novembre dernier. Dans un communiqué, ils ont affirmé leur intention de respecter leurs engagements liés au droit international.

Les ministres des Affaires étrangères des nations membres, réunis près de Rome, ont insisté sur le fait qu’Israël, tout en défendant ses intérêts, doit impérativement se conformer aux normes du droit international, y compris à celles du droit humanitaire. Ils ont déclaré : « En exerçant son droit à se défendre, Israël doit pleinement respecter ses obligations face au droit international en toutes circonstances. »

Les représentants des pays du G7 ont également souligné leur ferme engagement envers le droit international humanitaire et la nécessité de respecter leurs responsabilités respectives. Il est important de noter que le terme « respectives » fait allusion à une distinction entre les membres : alors que le Canada, la France, l’Allemagne, le Royaume-Uni, le Japon et l’Italie reconnaissent la CPI, les États-Unis ne partagent pas cette position.

En somme, cette déclaration du G7 met en lumière les attentes liées au respect du droit international dans le cadre des agissements d’Israël, tout en rencontrant des divergences d’opinion sur la reconnaissance de la CPI parmi les membres du groupe.

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