Gouvernement tunisien en crise : Les 100 jours d’Ahmed Hachani, un mystère dévoilé !

Depuis sa nomination le 1er août 2023, Ahmed Hachani, actuel chef du gouvernement tunisien, a passé plus de cent jours à la Kasbah sans susciter de réels changements ni faire parler de lui. Son mandat est marqué par une étrange passivité qui soulève des questions sur son rôle effectif et la direction du pays.

Malgré la position stratégique qu’occupe Ahmed Hachani, il semble être dans l’ombre, éclipsé par un silence déconcertant. L’article critique sévèrement le manque d’actions du chef du gouvernement, soulignant que ses seules interventions notables ont été des flagorneries envers le président Kaïs Saïed.

Le bilan des cent premiers jours d’Ahmed Hachani est accablant. Il n’a ni fait de discours au parlement ni adressé la nation. Il n’a pas non plus rencontré des acteurs clés de la scène politique, économique et sociale, laissant les Tunisiens dans l’ignorance quant à sa vision, ses projets, et son programme pour le pays.

L’article pointe du doigt le choix d’un chef du gouvernement sans expérience politique préalable, soulignant qu’Ahmed Hachani, ancien responsable des ressources humaines à la Banque centrale de Tunisie, ne semble pas avoir les réseaux ni les compétences nécessaires pour guider le pays dans une période aussi cruciale.

Le mystère autour d’Ahmed Hachani s’épaissit avec le constat que la majorité des ministres de son gouvernement ont été nommés par sa prédécesseure, Najla Bouden. Les ministres limogés par le président Saïed n’ont pas été remplacés, laissant des postes clés tels que l’Industrie, l’Emploi et l’Économie vacants.

L’article insinue que cette passivité pourrait être une politique imposée par le président Saïed, cherchant un chef du gouvernement docile et peu enclin à briller dans le paysage politique. La comparaison avec la précédente titulaire du poste, Najla Bouden, souligne une frilosité similaire envers les forces vives du pays et les médias.

En fin d’article, des questions ouvertes sont posées quant à la capacité d’Ahmed Hachani à gouverner le pays et sur la véritable nature de cette politique du vide. Les lecteurs sont encouragés à partager leurs opinions et prédictions sur l’avenir politique de la Tunisie dans les commentaires.

La Tunisie attend toujours que son gouvernement, dirigé par Ahmed Hachani, se manifeste après cent jours d’inaction. Le silence de ce chef du gouvernement, peut-être voulu par le président Saïed, soulève des préoccupations sur la direction que prend le pays.

Pensez-vous que cette passivité aura des conséquences durables pour la Tunisie ? Partagez vos réflexions et perspectives dans les commentaires ci-dessous. La discussion sur l’avenir politique du pays commence ici.

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