Le Fonds Islamique pour le Climat et le Développement : Un Aperçu

Qu’est-ce que l’IFCD ?

Le Fonds Islamique pour le Climat et le Développement (IFCD) se positionne comme une initiative clé pour mobiliser des investissements en faveur de projets environnementaux. Respectant les principes de la finance islamique, l’IFCD vise à relever les défis contemporains liés à l’environnement.

Une Rencontre Engagée

Récemment, le Conseil Bancaire et Financier (CBF) en coopération avec le Fonds Mondial pour la Nature – WWF Afrique du Nord, a organisé une réunion dédiée à l’IFCD. Cet événement avait pour but d’informer les institutions financières et bancaires tunisiennes des possibilités de financement durable que propose l’IFCD pour des projets "verts".

Objectifs et Impact du Fonds

D’après les déclarations du CBF, l’IFCD fait partie intégrante du Programme mondial de la finance islamique pour le climat. Son objectif principal est d’améliorer les conditions de vie des communautés dans les pays touchés par le changement climatique par une croissance économique durable. De plus, l’initiative se consacre à la restauration des paysages naturels et à l’augmentation de la biodiversité dans les zones affectées par des problèmes environnementaux.

Vers un Engagement Renforcé

Lors de cette rencontre, le CBF et WWF Afrique du Nord ont souligné leur souhait de renforcer le rôle des banques tunisiennes dans le financement des projets écologiques et la résilience climatique des populations locales.

Le Rôle du CBF

Le CBF, qui regroupe différents types d’établissements financiers opérer en Tunisie, joue un rôle fondamental dans la promotion de la finance durable. Selon son site officiel, il comprend 22 banques universelles, 2 banques d’affaires, 3 banques offshore, 9 organismes de leasing, 2 sociétés de factoring, et 5 établissements de paiement.

L’initiative IFCD représente ainsi une opportunité significative pour le secteur financier tunisien d’agir en faveur de l’environnement tout en respectant les valeurs de la finance islamique.

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