Une ombre plane sur l’industrie sucrière tunisienne, avec la fermeture de l’usine de raffinage de sucre de Bizerte, qui demeure inopérante depuis près d’une année. La nouvelle, annoncée par le secrétaire général adjoint du syndicat de base de la Société Tunisienne du Sucre, Wissem Mejri, expose les conséquences dévastatrices de cette fermeture sur l’emploi et l’économie locale.
Une Usine Clé à l’Arrêt :
La Tunisie abrite trois raffineries de sucre, dont l’usine de Bizerte, qui était autrefois un pilier essentiel de la production nationale. Produisant près de 1 600 tonnes de sucre par jour, soit plus de 45 000 tonnes par mois et plus de 500 000 tonnes par an, l’usine était un acteur majeur tant sur le marché local qu’à l’international. La fermeture, motivée par des raisons financières, a plongé 400 travailleurs dans le chômage technique depuis novembre 2022.
Un Coup Dur Financier :
Selon Mejri, l’investisseur en charge de l’usine n’a pas pu injecter les fonds nécessaires pour maintenir les opérations. Cette fermeture a laissé les employés sans sources de revenus, impactant non seulement leur vie quotidienne mais également les relations commerciales avec les fournisseurs et partenaires de la société.
Un Appel à l’Aide :
La situation économique préoccupante soulève des questions cruciales sur l’avenir de l’industrie sucrière en Tunisie. Les conséquences de la fermeture de l’usine de Bizerte ne se limitent pas aux murs de l’usine ; elles se font ressentir à travers une chaîne d’approvisionnement désormais interrompue.
Qu’en pensez-vous ? La fermeture de l’usine de sucre de Bizerte aura-t-elle des répercussions durables sur l’emploi et l’économie de la Tunisie ? Partagez vos opinions et vos perspectives dans les commentaires ci-dessous.
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