L’engagement de la France envers la Cour Pénale Internationale
Lors d’une récente conférence de presse, le porte-parole du ministère des Affaires étrangères a exprimé clairement le soutien de la France à la Cour Pénale Internationale (CPI). Selon Christophe Lemoine, "la lutte contre l’impunité est notre priorité". Ce soutien repose sur l’engagement de la France, qui a ratifié le statut de la CPI en 2000.
Un soutien nuancé
Bien que Lemoine ait affirmé le soutien de la France envers les initiatives de la CPI, il est resté évasif concernant la question d’éventuels mandats d’arrêt. Interrogé sur la possibilité d’arrêter Benyamin Nétanyahou en cas de visite en France, il a opté pour la prudence, soulignant que cette question représente "une complexité juridique".
La nécessité de la précaution
Le porte-parole a insisté sur le fait que toute réponse à de tels mandats doit être soigneusement réfléchie et fondée sur des considérations juridiques précises. Cela révèle le souci de la France de respecter à la fois ses engagements internationaux et les nuances des principes juridiques qui entourent l’application des mandats d’arrêt.
En somme, cette déclaration met en avant l’engagement ferme de la France envers la justice internationale, tout en reconnaissant les enjeux et les défis que pose l’application de tels mandats.