Le chef de l’État zambien, Hakainde Hichilema, a révélé le lundi 25 mars qu’un pacte visant à reconfigurer les modalités de remboursement d’une dette supérieure à 3,5 milliards de dollars a été conclu avec les propriétaires d’euro-obligations. Cet événement est considéré comme un jalon crucial pour assurer la stabilité financière future de la nation.
Avec une annonce faite sur les plateformes de médias sociaux, le président Hichilema a affiché son contentement face à cet accord atteint sous l’égide du cadre commun du G20. Son message reflétait un optimisme contagieux : “Nous avons marqué l’histoire ! C’est avec enthousiasme que nous partageons la nouvelle de notre accord avec les possesseurs d’euro-obligations. Nous adressons nos sincères remerciements à nos compatriotes pour leur patience tandis que nous projetons un avenir prometteur pour la Zambie et sa population.”
La directrice exécutive du Fonds monétaire international (FMI), Kristalina Georgieva, a rapidement offert ses félicitations, soulignant par la même occasion l’importance de cette entente par l’intermédiaire des réseaux sociaux. Elle a mis en exergue le fait que l’accord permettrait à la Zambie de jouir d’un allègement de dette significatif, ce qui constitue une avancée notable au sein du cadre commun du G20.
Cet arrangement est d’une gravité considérable pour le pays, ouvrant la porte à des perspectives financières plus prometteuses. Bien que les modalités exactes de cette restructuration restent à être précisées, il est indéniable que cela offre à la Zambie l’opportunité d’améliorer sa santé financière et de continuer à poser les jalons de son évolution économique.
