Dans un contexte où la proposition de loi sur la criminalisation de la normalisation suscite des débats houleux, l’ancien élu et expert en gouvernance, Hatem Mliki, apporte son éclairage sur cette question brûlante.
Mliki a souligné que la position du peuple tunisien sur la question palestinienne demeure cohérente et immuable, avec une longue histoire de soutien à la cause palestinienne.
Selon Mliki, la polémique actuelle est une manifestation de la surenchère politique du processus du 25-juillet et de ses soutiens. Il insiste sur l’absence de divergence au sein du peuple tunisien quant à sa position commune sur la question palestinienne, attribuant les tensions actuelles à des problèmes internes au sein du régime politique actuel.
L’expert propose une approche axée sur l’action diplomatique et la société civile pour aider les Palestiniens. Il met l’accent sur la nécessité de documenter les crimes, de recourir à la Cour pénale internationale, d’ouvrir le poste frontière de Rafah pour acheminer l’aide et de déclarer un cessez-le-feu.
Quelle est votre perspective sur la position tunisienne actuelle concernant la question palestinienne ? Pensez-vous que les problèmes internes au régime politique auront un impact sur l’adoption de la loi ? Partagez vos réflexions dans les commentaires ci-dessous
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