Le bureau exécutif de l’Union générale tunisienne du travail (UGTT) a fermement condamné, dans un communiqué, une tentative d’intrusion à son siège central à Tunis, ainsi que l’agression de Samir Cheffi, secrétaire général-adjoint de l’organisation.
Selon l’UGTT, cette attaque a été perpétrée par des individus appartenant à ce qu’elle qualifie de “corps parallèle”.
Un Acte Prémédité
La Centrale syndicale a souligné que cette agression survient après plusieurs mois de menaces verbales dirigées contre les syndicalistes, affirmant que les agresseurs auraient agi avec le “feu vert” pour cibler l’UGTT.
L’organisation considère cette attaque comme préméditée et pointe du doigt le pouvoir en place, qu’elle tient pour responsable de toute violence à l’encontre de l’UGTT.
Mesures Judiciaires
L’UGTT a réitéré sa détermination à défendre ses sièges et ses membres, affirmant que les auteurs de cette agression seront poursuivis en justice. Le syndicat se dit prêt à prendre toutes les mesures nécessaires pour protéger ses structures et ses affiliés.