une réunion stratégique a eu lieu entre une délégation ministérielle tunisienne et une délégation de la Banque mondiale, dirigée par Meskerem Brhane, directrice du développement durable pour la région MENA (Afrique du Nord et du Moyen-Orient). Cette réunion a mis en lumière la collaboration entre la Tunisie et la Banque mondiale pour lutter contre les répercussions dévastatrices des changements climatiques sur les grandes cultures, en mettant particulièrement l’accent sur le dispositif céréalier du pays.
Les changements climatiques représentent un défi majeur pour l’agriculture tunisienne, en particulier pour le secteur céréalier, qui joue un rôle essentiel dans la sécurité alimentaire du pays. Les événements climatiques extrêmes, tels que la sécheresse et les inondations, ainsi que les variations imprévisibles des températures, menacent la production de céréales et ont un impact direct sur les moyens de subsistance des agriculteurs.
La Tunisie, consciente de ces défis, s’est engagée à renforcer sa résilience face au changement climatique. C’est dans cette optique que le pays a cherché l’appui de la Banque mondiale, une institution renommée pour son expertise en matière de développement durable et de lutte contre le changement climatique.
Cette réunion a jeté les bases d’une coopération fructueuse visant à mettre en œuvre des initiatives concrètes pour protéger les grandes cultures en Tunisie. Parmi les mesures possibles figurent l’amélioration des techniques agricoles, l’adoption de variétés de céréales résistantes aux conditions climatiques difficiles et le renforcement de l’infrastructure d’irrigation.
Il est important de noter que la sécurité alimentaire est une priorité majeure pour la Tunisie, et la coopération avec la Banque mondiale vise à garantir que le pays puisse continuer à produire des céréales de manière durable, malgré les défis climatiques.
Ce partenariat entre la Tunisie et la Banque mondiale est une étape positive vers la protection des cultures tunisiennes et la promotion de la durabilité agricole. Il souligne l’engagement commun en faveur d’un avenir plus résilient et plus vert.
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