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Netanyahu ordonne le contrôle du Golan syrien après la chute d’Al-Assad

Conflit au Moyen-Orient : Israël renforce sa présence sur le Golan syrien

Ce dimanche, Benjamin Netanyahu, le Premier ministre israélien, a révélé avoir ordonné à l’armée israélienne de sécuriser la zone tampon du Golan syrien occupé. Cette manœuvre fait suite à la chute imminente du régime de Bachar Al-Assad, avec pour objectif d’"empêcher toute force hostile de s’installer" à proximité des frontières israéliennes.

Peu après cette annonce, Tsahal a confirmé avoir pris le contrôle de cette zone démilitarisée, en instaurant un couvre-feu dans cinq localités. Il est important de rappeler que cette zone de sécurité a été créée suite à l’accord de séparation des forces conclu en 1974, après la guerre arabo-israélienne de 1973.

Réactions internationales et conséquences régionales

Cette décision de Netanyahou a suscité de nombreuses réactions sur la scène internationale. Alors que l’Irak appelle au respect de la volonté du peuple syrien, d’autres pays, comme la France, insistent sur l’importance de l’unité et de la réconciliation en Syrie.

D’autres nouvelles de la région ajoutent à la complexité de la situation. Le départ du président Assad de Syrie a d’ailleurs été confirmé par la Russie, suscitant des interrogations sur l’avenir du pays. Pendant ce temps, des informations émergent sur la chute du régime Assad et les implications pour les forces rebelles.

Situation sur le terrain

En Syrie, des évolutions significatives se dessinent. Les rebelles font état de la prise de contrôle de Homs, tout en annonçant la libération de plus de 3500 prisonniers. Cette dynamique remet en question la stabilité de la région et alimente les tensions entre les différents acteurs impliqués dans le conflit.

Avec une situation aussi volatile, chaque décision prise dans cette zone géopolitique peut avoir des conséquences à long terme sur l’équilibre des pouvoirs au Moyen-Orient et sur la vie quotidienne des civils.