La 58e édition du Festival international de Carthage (FIC) se tiendra du 18 juillet au 17 août 2024.
Lors de cette édition, 18 soirées de spectacles variés seront proposées, offrant une programmation équilibrée entre artistes tunisiens, arabes et internationaux.
Le festival débutera avec un hommage à Lotfi Bouchnak intitulé “Ayech leghnayeti”, une création de son fils Abdelhamid Bouchnak.
La clôture sera assurée par la chanteuse syrienne Assala Nasri, qui reviendra à Carthage avec un nouveau répertoire, incluant une chanson dédiée à la Palestine.
Une Ouverture Prestigieuse
L’ouverture de cette édition sera marquée par une performance spéciale de Lotfi Bouchnak, l’un des artistes les plus respectés de Tunisie. “Ayech leghnayeti” rendra hommage à sa carrière remarquable, s’étendant sur cinq décennies. Cette soirée d’ouverture sera un événement incontournable, avec la participation de plusieurs artistes et paroliers tunisiens et internationaux.
Assala Nasri en Clôture
La célèbre chanteuse syrienne Assala Nasri clôturera le festival.
Trente ans après sa première prestation à Carthage, elle revient avec un nouveau répertoire, mettant en avant une chanson inédite dédiée à la Palestine.
Ce retour très attendu souligne l’engagement artistique et personnel de l’artiste envers des causes humanitaires.
Une Programmation Équilibrée
Le programme du festival sera dévoilé progressivement sur la page officielle du FIC à partir du 22 juin.
Cette édition promet une diversité de spectacles incluant des performances d’artistes des États-Unis, d’Europe, d’Afrique et d’Asie.
Le festival mettra en avant des talents de divers horizons, assurant une expérience culturelle riche et variée pour le public.
L’Affiche du Festival
L’affiche de la 58e édition du FIC, récemment dévoilée, présente des éléments symboliques tels que le chiffre 8 et le buste d’Hannibal, rappelant la grandeur historique de Carthage.
La présence des drapeaux de la Tunisie et de la Palestine sur l’affiche témoigne de la solidarité des Tunisiens avec la cause palestinienne.
Commentaires
commentaires
