La Tunisie s’apprête à ouvrir de nouvelles opportunités d’emploi pour sa jeunesse dynamique. Selon le chef de cabinet du ministre de l’emploi et de la formation professionnelle, Abdelkader Jammali, près de 104 000 contrats d’initiation à la vie professionnelle seront conclus en 2024, grâce au budget de l’État. Cette initiative vise à encourager l’intégration des jeunes sur le marché du travail et à renforcer leurs compétences professionnelles.
En outre, 6 800 contrats de dignité, également connus sous le nom de contrats Karama, seront proposés en 2024. Ces contrats ont pour objectif de soutenir les jeunes en difficulté et de leur offrir des opportunités de travail décent.
Mais ce n’est pas tout. Le gouvernement tunisien s’engage à créer 11 000 contrats de service civile volontaire. Ces contrats visent à encourager l’engagement civique des jeunes tout en renforçant leurs compétences et en les préparant à des rôles importants au sein de la société.
L’année prochaine sera également marquée par une attention particulière portée aux jeunes qui n’ont plus le droit de bénéficier de ces contrats. Ils seront pris en charge dans le cadre de programmes de formation axés sur des spécialités qui les prépareront à intégrer le marché du travail.
Un partenariat avec des agences de coopération allemande, suisse et italienne permettra à environ 2 000 jeunes d’être formés pour améliorer leurs compétences et leur employabilité, ouvrant ainsi de nouvelles opportunités sur le marché de l’emploi.
Cette initiative est essentielle pour l’avenir de la Tunisie, car elle vise à résoudre le problème du chômage des jeunes et à renforcer l’économie du pays. Les opportunités offertes par ces contrats d’initiation à la vie professionnelle, les contrats Karama et les contrats de service civile volontaire contribueront à construire un avenir plus prometteur pour la jeunesse tunisienne.
Pensez-vous que ces mesures auront un impact positif sur l’avenir de la Tunisie et de sa jeunesse ? Partagez vos réflexions dans les commentaires ci-dessous.