Sébastien Simon : Entre Frayeur et Résilience dans le Vendée Globe
Introduction captivante
Sébastien Simon, toujours solidement installé à la troisième position du Vendée Globe, a vécu une expérience intense pour débuter cette nouvelle année. Que s’est-il passé exactement ?
Un changement de leadership
Après avoir brièvement mené la course dans le Pacifique, le skipper du Groupe Dubreuil a dû céder sa place au duo charismatique composé de Charlie Dalin et Yoann Richomme. Ces deux navigateurs continuent d’en découdre en tête, tandis que Simon garde une distance confortable derrière eux. Actuellement, il accuse un retard d’environ 400 milles sur les leaders.
Une position sécurisée
Malgré une certaine distance, la troisième place de Sébastien Simon semble à l’abri. En effet, le quatrième concurrent, Thomas Ruyant, est à plus de mille milles derrière, ce qui permet au Charentais de naviguer avec plus de sérénité.
Une frayeur vertigineuse
Mercredi, toutefois, Simon a connu un moment de tension. Pour résoudre un problème technique, il a dû grimper en haut de son mât, à près de 20 mètres de hauteur. Dans une vidéo qu’il a partagée, il a expliqué : « Bienvenue en haut du mât de Groupe Dubreuil. Je ne sors pas mon téléphone pour le plaisir ; j’ai changé un aérien, l’antenne VHF, afin de récupérer l’AIS. »
Une sensation désagréable
Malgré la vue imprenable qu’offrait ce point de vue, cet ascension n’était pas de tout repos pour le marin. Souffrant de vertige, Simon a exprimé son désir de redescendre rapidement : « Je n’avais vraiment pas envie d’y aller, et là surtout, j’ai hâte de descendre. »
Conclusion
Bien que sa troisième place soit bien établie et qu’il navigue vers la fin de la course avec détermination, les défis comme celui-ci montrent que le Vendée Globe est une aventure à la fois exaltante et éprouvante.