Dans le cadre des développements récents concernant la tragédie du 18/18 à Zarzis, où un bateau de migrants clandestins a sombré, causant la disparition de 18 personnes locales, les familles des victimes continuent de réclamer justice et la poursuite des responsables.
Considérant l’incident non comme une simple noyade, mais comme un crime nécessitant un procès équitable, les familles ont organisé une manifestation pour rappeler leurs demandes de vérité et de justice.
Les manifestants ont insisté sur le fait que la tragédie du 18/18 n’est pas une noyade ordinaire mais un crime d’immersion nécessitant des poursuites judiciaires justes, critiquant le traitement judiciaire de l’affaire qu’ils estiment inadéquat.
Il est à noter que 10 des victimes de la tragédie de septembre 2022 sont toujours portées disparues, et leurs familles demandent avec insistance de connaître leur sort.
Récemment, des peines de prison allant de 4 à 10 ans ont été prononcées contre cinq accusés pour avoir constitué un réseau d’aide à l’émigration clandestine. Cependant, les familles des victimes jugent ces peines insuffisantes et appellent à des enquêtes plus approfondies et à une responsabilité plus large.
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